"Deux biennales, non. Une biennale coupée en deux par un gros malentendu, un malentendu qui aurait pu être évité si nous nous étions écoutés, si chacun n'avait pas surestimé ses forces." Amer, déçu, modérément optimiste, le directeur exécutif adjoint de la Biennale Regard Bénin, Ousmane Aledji, ne peut que constater les dégâts occasionnés par la lutte fratricide qui a opposé, ces derniers mois, les acteurs culturels du Bénin (...)
[Lire la suite de l'article de Nicolas Michel publié par Jeune Afrique]