Au sortir de douze jours de débats, l'ambiance était plutôt à l'optimisme chez les défenseurs de la nature : les 178 pays qui ont participé, du 3 au 14 mars à Bangkok, à la 16e Conférence des parties (CoP16) de la Convention sur le commerce international des espèces menacées d'extinction (Cites) y ont accompli des pas importants pour la protection des requins, des tortues et des bois tropicaux.
Le ton était en revanche à la déception sur l'action menée en faveur des éléphants d'Afrique, victimes dans leurs pays d'origine d'un braconnage sans précédent et d'un commerce effréné en Asie (...)
[Lire la suite de l'article de Catherine Vincent publié par Le Monde]