La musique sénégalaise perd de son pouvoir de cohésion sociale ?

Selon le critique d'art Amadou Guèye Ngom, la musique se trouve actuellement réduite à sa fonction dansante
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Genre : Faits de société
Pays principal concerné : Rubrique : Musique
Mois de Sortie : 2010
Publié le : 14/01/2010
Source : Walf Fadjri

Le quotidien sénégalais Walf Fadjiri fait le compte-rendu d'une intervention d' Amadou Guèye Ngom, ce mercredi 13 janvier, à Maison de la culture Douta Seck sur le thème : "La musique sénégalaise d'hier à aujourd'hui". Après avoir démontré, à travers plusieurs exemples ethnographiques tirés du passé récent du Sénégal, la force et la puissance de la musique comme outil de comunication et de cohésion sociale, cimentant depuis des décennies ou des siècles, les relations de l'homme avec son environnement ou encore la fonction thérapeutique, l'importance de son rôle dans certains rituels initiatiques, ou dans les jeux de pouvoirs, le critique d'art a déploré l'hégémonie du m'balax dans le paysage musical actuel. Lequel, pour lui, réduit la musique, traditionnelement riche et variée, à son unique dimension ludique. L'ouvrage L'Evolution de la musique sénégalaise d'hier à aujourd'hu qui devrait paraître d'ici quelques mois aux Editions Les Feux de Brousse permettra sans doute d'approfondir ces réflexions...

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