La musique est un matériau de l'Histoire. Pour s'en convaincre, on ne peut pas évoquer certaines périodes sans se rappeler des chants. On ne parlera pas du Président Nasser de l'Égypte sans se souvenir de la grande cantatrice du monde arabe Oumou Koulchoum. Il en est de même pour la Haute-Volta. Parler de l'indépendance, de la radio et ses réformes pendant la période en omettant d'évoquer le Larlé Naaba et des noms comme celui de Ado Gorgo Léontine, c'est ignorer un pan important de l'Histoire du Pays (...)
[Lire l'intégralité de l'article de Saglba Yaméogo publié dans le mensuel Mutations]