Ils sont 300, entassés sous le baobab. Des enfants dépenaillés, des femmes enceintes, des vieillards élégants. Tout le village burkinabé de Kiefangué a déserté la place du marché pour se retrouver là. Et ils attendent.
[Lire la suite de l'article de Par Igor Hansen-Love]
Publié le 8 mars 2014, par L'Express.
A lire également sur Africultures :
[Le Nassara Festival Burkina Guiligri, un festival de théâtre de rue au Burkina Faso - entretien de Sophie Perrin avec Jean-Luc Prévost, directeur artistique de la compagnie Les Goulus]