La mauvaise qualité de sa distribution est le principal problème de la presse écrite camerounaise. Vous pouvez bien concevoir les meilleurs journaux du monde, s'ils ne sont pas disponibles et si, lorsqu'ils le sont, leurs charges logistiques sont telles qu'ils sont hors de prix, vous êtes mal. Mais nos journaux étant déjà loin, d'être les meilleurs du monde, on imagine l'impact d'un système de diffusion aussi archaïque et inefficace que celui qui distribue notre presse. En effet, l'état camerounais a abandonné ce secteur à une filiale du groupe Français Prestalis, sorte de monstre organisationnel co-géré par Hachette et le syndicat du Livre français (...)
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