Brésilien par son père, tatare par sa mère, Lou La bonté a vécu une partie de son enfance sur les terres arides du Sertao. Un parcours né sous le signe du métissage et d'expériences diverses qui le conduiront de la pratique de la médecine à la traduction.
De sa plume, il expérimente diverses formes d'écriture (polar, aventure, poésie, chanson).
Lou La bonté s'est fait connaître par divers récits. Ont parus récemment Un cadavre imbuvable, éd. Noir délire, puis République bananière, Rivière, Révolution, éd. Moeiro signé sous son matronyme Georges Antoine Chaduteau et enfin Que d'eau que de négriers.
Ses récits souvent inspirés de faits authentiques témoignent d'une vision qui refuse le cynisme de nos sociétés.