Malika, son prénom, éthymologiquement "petite princesse", est devenu Mali-Ka, la voix du Mali dans la langue de ses origines.
Avec ses cinq Musiciens qu'elle appelle ses MOM (Musiciens d'Outre Mer), elle peint ses mélodies de couleurs rythmiques tantôt reggae (car c'est de là qu'elle puise sa source), funk, rhythm'n'blues, tantôt chanson a capella visant l'épuration la plus totale, ou bien même plonge sa voix claire et profonde dans les harmonies des chants africains. Bref Mali-Ka n'a pas de limites à sa générosité créatrice.
Dans son nouveau CD Musoko, elle nous fait partager les destins de ces femmes que l'on voit de dos parce qu'elles nous montrent le chemin.
Profondément Mystique, cette auteur-compositeur-interprète nous révèle à travers ses mots simples et sans détours un immense talent d'amour universel. Avec une vérité qu'impose à nos yeux sa longue chevelure tombant jusqu'à ses pieds, nus lorsqu'elle chante sur scène.
Artiste rare, elle présentera son 2ème CD et ses toutes nouvelles chansons. Une occasion pour le public parisien de satisfaire une double curiosité : assister à un concert au sein d'un hôpital et contribuer ainsi à le considérer comme un lieu de vie comme un autre, et découvrir une artiste qui s'est déjà produite en 1ère partie de Zap Mama, Jimmy Cliff, Kassav, Higelin, Enzo Enzo, Johnny Clegg, Michel Jonasz, et avec Manu Dibango et Kery James.