En 2002, il découvre la peinture, il suit alors un apprentissage aux ateliers de l'Artiste Nkanganyam Viking, de 2002 à 2004. La peinture lui permet d'exorciser son « enfance volée », et il prend peu à peu conscience que c'est un fléau mondial. Alors il commence à peindre ces enfants sans amour, ni liberté. Il désire « dénoncer et condamner les violences, les crimes et les horreurs, qui traumatisent et qui ôtent la vie a des millions de d'enfants du monde dans l'indifférence ». C'est pourquoi on retrouve certains éléments dans son travail : les menottes et les barreaux qui symbolisent le manque de liberté. La mise en scène des personnages de bandes dessinées, quant à eux, symbolisent les rêves volés de cet enfant. Dès 2007, il participe à des expositions collectives ou personnelles.