Les médias traditionnels nous font inlassablement un tel portrait dramatique de l'Afrique (guerres civiles, ethniques ou religieuses, épidémies, sécheresse, famine etc...) qu'on se demande parfois comment ce continent berceau de l'Humanité fait pour encore tenir debout.
La raison en est bien simple : si l'Afrique tient debout, si l'Afrique se développe et progresse quoi qu'on en dise, c'est grâce à un réseau dont personne ne parle jamais, dont personne ne fait jamais l'éloge, un réseau de personnes qui chaque jour puisent énergie et courage pour que ce soit la vie qui gagne et non la mort, et se battent inlassablement contre l'injustice et l'oppression. Bref, vous l'aurez compris, on parle d'un réseau invisible.
Pourquoi invisible, parce que, aussi bizarrement que classiquement, les sociétés et ceux qui écrivent l'Histoire préfèrent célébrer des symboles, des héros préfabriqués à partir de militaires, politiciens ou de figures connues, et laisser de côté les vrais héros, qui sont bien souvent des femmes. Il suffit d'examiner les noms de rue pour se convaincre de ce phénomène, fruit de l'égoïsme et de l'arrogance de la plupart des gens de pouvoir.
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