La danse, même si elle se dit dans un langage contemporain, se révèle un domaine où les croyances et traditions africaines sont convoquées.
L'art africain, même s'il est moderne, s'inspirant davantage d'une contemporanéité de plus en plus exigeante et rigoureuse'puisqu'elle fait appel à l'imagination, donc à l'innovation' reste, cependant étroitement et indiscutablement attaché à l'authenticité, donc à une ancestralité avérée.
Que ce soit en peinture (ou autres domaines de la création artistique tels que la sculpture, le design...), en musique, en littérature, en cinéma, l'art s'exprime invariablement dans le langage local même s'il est d'apparence contemporaine (...)
[Lire la suite de l'article de Yacine Idjer publié dans Info Soir]